D’un point de vue juridique, on ne peut pas, du moins en théorie, faire n’importe quoi en matière de coupe de bois en Europe. De plus, les différentes certifications forestières telles le PEFC et FSC apportent aujourd’hui un début de garantie de production forestière soupçonnable. Néanmoins, d’importants volumes européens proviennent encore de forêt russe où la législation est nettement plus permissive. Ainsi, le meilleur moyen d’être sûr de ne pas contribuer à la déforestation est d’exiger du bois local ou, à défaut, du bois provenant des forêts françaises, voire de la communauté européenne.

D’un point de vue environnemental, les arbres utilisés constituent des puits à CO2, lequel continuera à être séquestré durablement une fois le végétal transformé en plan, tandis que les jeunes arbres appelés à remplacer les peuplements abattus vont capter à leur tour du gaz carbonique et donc contribuer à lutter contre l’effet de serre.

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